Historiquement, les entreprises ont dû appliquer des mesures légales en faveur de l’épanouissement de leurs salariés. Par exemple, depuis les années 70, la formation professionnelle est actée dans la loi. Plus récemment, la loi ANI de 2016, a instauré l’obligation pour les employeurs du privé de proposer une couverture santé à leurs salariés. Ces mesures traduisent l’obligation des entreprises d’investir dans l’épanouissement des salariés.

Ces dernières années, nous faisons face à une démultiplication de ces services pour renforcer et valoriser l’expérience collaborateur, au-delà d’une quelconque obligation légale. Les entreprises souscrivent à des offres de service de plus en plus personnalisées et variées, à destination de leurs salariés (abonnement à une salle de sport, conciergerie ou encore coaching…). D’ailleurs, les collaborateurs sont de plus en plus nombreux à avoir des attentes spécifiques en matière d’épanouissement professionnel. En effet, selon l’étude Alan et Harris Interactive de février 2022, 86% des Français considèrent l’entreprise comme responsable de leur bien-être mental.

Cette thématique est donc devenue importante pour les entreprises et les RH sont au cœur de ces enjeux. On peut donc se poser la question de l’investissement dans l’épanouissement des salariés et se demander dans quelle mesure ce genre de politique peuvent-elles être stratégiques ou intrusives?

Nous nous questionnerons sur ce qu’une entreprise peut attendre en retour de son investissement lorsqu’elle mène une politique RH centrée sur l’épanouissement professionnel ?

Rendez-vous le mardi 15 novembre à 11h.

Inscrivez-vous pour recevoir le replay.